♦ Nom de l'organisation : Sacra Corona Unita

♦ Nom du propriétaire : S-C-U

♦ Nom du saccageur : V.Salzano (sous Vekox)

♦ Votre grade : Boss.

♦ Méthode employée: Infiltration.

♦ Commentaire : Ca y est, nous attendions ce saccage depuis pas mal de temps, qui nous sert de tremplin. Je n'ai rien contre la famille qui m'a apprise tant de choses, le problème est qu'avec elle, je n'avais plus goût au jeu. Bon courage à eux pour la suite.

♦ Screenshot avant le saccage :

Spoiler:

♦ Screenshot après le saccage :

Spoiler:

DonCava Bonsoir.

La seule chose que j'aurai à répondre est que non, nous ne sommes pas de ceux qui se pensent au-dessus de tout. Nous sommes humains et nous pouvons échouer comme tous, mais nous pouvons aussi réussir, et c'est notre but. Et si jamais l'échec venait à arriver, nous l'accepterons, à quoi bon toujours se cacher derrière l'éventualité d'un échec, quand en prenant un risque, on peut avoir une chance de réussir.

Comme j'aime le dire, habbo est une micro-représentation de notre société. Ainsi les mafias prestigieuses du Panthéon correspondraient aux multinationales, quand les projets nouveaux comme nous, sont des PME. Ainsi vous avez le quasi-monopole de la réussite sur habbo, mais l'économie s'applique aussi à habbo. Et la théorie toujours vérifiée de l'économiste Schumpeter dit, les monopoles ne sont qu'éphémères, car une firme arrivera toujours pour rendre le produit obsolète. Le produit ici c'est nos mafias, un jour vous serez obsolète. Peut-être que l'on n'y arrivera pas nous, mais ça arrivera, un jour tôt ou tard.

Je passerai le commentaire de "l'énième mafia comme les autres" qui pour le coup ne mérite pas d'explication, tant c'est dit rapidement sans nous laisser le temps de montrer que nous faisons tout pour justement démontrer le contraire.

Je terminerai par une constatation liée à l'IRL aussi, beaucoup en sortant d'une école de commerce vont pour un poste de cadre dans une multinationale. Et qu'une très infime partie, même à HEC, tente la "grande aventure de l’entrepreneuriat". Ainsi les cadres sur habbo sont les HG, et les entrepreneurs, tous ceux qui tentent d'émerger, ce qui contrairement à ce que tout le monde pense sur habbo, est bel et bien le plus grand acte de courage. L'échec est omniprésent, mais la tentative est là. Si la réussite ne suit pas, c'est que la méthode employée n'est pas toujours la bonne. Ainsi donnez des leçons si ça vous chante, mais nous, nous sommes là, et nous savons pourquoi. Peu importe là où ça nous mènera.

Je ne cherche pas à fuir le débat, je t'ai exposé ce que je pense être une des raisons qui nous ont poussé à monter notre affaire. Oui "Le si on on échoue c'est pas grave, on aura essayé" est dans nos esprits car quand on monte un projet, il faut en évaluer les risques. Et sur habbo on sait très bien que le risque est très important, mais cette fameuse phrase nous rappelle que malgré l'échec, nous ne regretterons pas notre choix.

Mais avant tout, j'aimerai te faire comprendre que ce qui nous porte, c'est finalement quelque chose qui est ancré en nous, une façon d'être, c'est la passion d'entreprendre. Tu ne peux nous l'enlever.

Apparamment, le débat pour toi se centralise sur l'éventuelle "action irréfléchie" que l'on aurait pu commettre. Pourtant pour la plupart d'entre nous l'idée est tout le contraire d'irréfléchie. Premièrement car notre cœur est dans l'entreprise. Soit cœur et raison sont deux entités distinctes, et parfois il vaut mieux faire prévaloir la raison, mais dans d'autres circonstances le cœur peut parler. Ici les deux nous parlent. La raison nous fait aller vers la valeur ajoutée, beaucoup de mafieux qui montent des projets à tout va font impasse là dessus, et nous sommes d'accord toi et moi, ce n'est pas en dupliquant à l'infini et dénaturer petit à petit l'origine du jeu que l'on peut émerger.

Tu dis que l'on n'apporte rien au jeu, que nous ne sommes qu'une pâle copie, l'ombre de vous-même. Comme je l'ai dit précédemment, tu te trompes, ou du moins, on va essayer d'en apporter. Notre objectif, est d'innover, c'est au cœur du projet et tu ne peux nous l'enlever. En effet, nous voulons décupler la réussite de nos membres, nous les mettons encore plus au centre du projet. Quand je parle de décupler la réussite, c'est dans le développement personnel que nous voulons le faire, nous voulons éveiller le cœur entreupreunant de tous nos membres. C'est quelque chose de bien beau à dire, et de bien difficile à faire, mais nous développons certains dispositifs pour tenter de démultiplier les possibilités. Autrement dit, le seul objectif ne sera plus de monter en grade, et d'aider la Famille à prospérer. On pourra prospérer soit-même, si nos idées fonctionnent. Je n'en dis pas plus pour garder un peu de suspense, mais si tu parcours un peu plus le forum, tu pourras discerner les prémices de nos idées.

Ajoutons à nos quelques idées nouvelles la volonté d'instaurer un climat assez RolePlay, qui tourne autour des Familles de la Cosa Nostra Américaine et leur coutûmes, mais en l'an 2012 et non en 1960 comme tu as pû le voir dans Le Parrain, notamment avec plus de souplesse, comme la suppression des "uniformes" et même du vouvoiement. Le respect reste de mise envers les supérieurs et les autres mafieux, mais le climat fraternel y sera de ce fait très favorisé, et le RolePlay d'autant plus sachant que le vouvoiement est une fable dans l'univers mafieux réel. Ce ne sont pas des cadres d'entreprise, mais bel et bien des criminels sans foi ni loi et souvent vulgaires.

Passons à la suite. La suite de ton raisonnement est illogique. Les multinationales comme tu le dis si bien ne partent de rien à la base. Mais d'une idée, d'un domaine qu'elles pensent porteur. Effectivement il s'avère que l'idée est très porteuse et les entreprises nouvelles se développent très vite, se font concurrencer et prennent parfois une taille égémonique. Mais si elles sont aussi grosses, c'est parce que l'idée est porteuse, ainsi elles ont été "fondatrices" de ce marché, mais si ce dernier reste porteur, c'est parce qu'il y a une importante demande (cf. Keynes sur la loi de l'offre et la demande), or tant que le marché est porteur (et que les dirigeants ne font pas de bourde stratégique) rien ne s'écroule. Et non l'inverse, une multinationale ne peut pas détruire un marché. Quand le consommateur veut, le marché vit, c'est aux entreprises de suivre le mouvement. Ainsi des PME annexes qui facturent des services aux PME vivent (entreprises de nettoyages, entretien industriel etc..), et d'autres logiquement veulent leur prendre la place. C'est ainsi que nait la course à l'innovation, les nouvelles PME de ce marché tentent d'innover et créer une nouvelle offre pour le consommateur qui correspond mieux à sa demande, ou parfois l'entreprise même développe une stratégie pour créer une nouvelle demande chez le consommateur. Alors peut-être que les PME payent des brevets pour se baser sur le modèle existant, mais d'autres modèles peuvent émerger pour concurrencer les premiers sans rien avoir à payer. Dans notre cas on serait dans la PME qui paye le brevet pour éventuellement l'améliorer. Si la demande s'écroule, on tombe tous. Mais si on innove suffisamment, à toi d'imaginer la suite.

La suite est très certainement là pour réhausser le niveau du débat. On me disait que DonCava était quelqu'un de très respectable, mais moi j'ai toujours dit que je ne croyais que ce que je voyais. Ainsi, ce que je vois n'est pas à la hauteur de mes espérances, ni de celle du débat auquel j'aurai aspiré pouvoir participer. N'est-il pas possible de débattre sans avoir à sortir la fameuse technique vue et revue dans chaque débat de "celui qui dégaine la définition internet du mot X" ? Si le débat devait continuer dans cette voie, sâche DonCava que je serai contraint de le stopper net, alors qu'il aurait pu être intéressant, en prenant un peu de hauteur.

Je terminerai en posant une question, en espérant pouvoir reprendre le débat en toute intelligence, pourquoi, Don Cava, selon toi, très sincèrement, notre volonté de monter notre propre Famille est irréfléchie ? En utilisant s'il te plaît des exemples concrets, et non en faisant des postulats hâtifs sans une once de preuves à l'appui.