Bonjour/Bonsoir mes frères.

Pour les anciens de la Salzano, vous savez ce que sont les Backgrounds, j'ai décidé de les reprendre mais à la sauce Santéro.
Tout d'abord, un background caractérise l'histoire de votre personnage RP ou d'un personnage imaginaire, cet exercice (que je trouve amusant lorsque je m'ennui) est relativement simple et entraîne en quelque sorte pour le bahut (rédac' etc..)

Alors, mes frères, laissez libre court à votre imagination et à vos plumes.

Spoiler:

La trappe du grenier s'ouvrit subitement. Un jeune adolescent de 12 ans se hisse dans le grenier d'une petite maison dans la banlieue de Stuttgart dans le Wurtemberg. L'enfant était plutôt grand pour son âge, des cheveux châtains recouvraient sa tête, des yeux bleus perlaient sur son visage lisse. Plus bas, sa mère et son beau-père se disputaient, encore une fois. Le grenier était le refuge favori de Klaus von Richtberg lorsque ses "parents" se disputaient, mais il remarqua quelque chose qu'il n'avait jamais vue auparavant.
Klaus s'approcha de la caisse éclairée par un faible rayon de soleil qui passait par la fenêtre. Il apercevait un bouquin sale qu'il prit dans ses mains en l'époussetant, sur la couverture on pouvait lire.

"KRIEGZEITUNG DER KARL FRIEDRICH VON RICHTBERG"

Karl Friedrich von Richtberg.. ce nom n'évoquait rien à Klaus mis à part le nom de famille. Klaus, intrigué, ouvrit le journal et se mit à lire la première page.

Le 01/01/1941, Karl von Richtberg a écrit:

En ce Premier Janvier 1941 j'ai l'honneur de commencer le journal offert par Erika que j'aime. Je vais commencer par le commencement ; je me situe en Libye dans le désert. Je suis mobilisé depuis trois jours et j'ai déjà le mal du pays. La Libye est un pays si chaud ! Je suis obligé de changer de chemise trois fois par jours, lorsque je suis monté dans le Panzer où je servirai, la chaleur était suffoquante. Néanmoins, je brûle de me battre, je vous avertirai lorsque je me frotterai aux premiers chars britanniques.

Le 03/01/1941, Karl von Richtberg a écrit:

..Dans mon Panzer, l'air est irrespirable, je me suis enfin mesuré face aux Matilda Anglais et je dois dire que comparer à lui, nos Panzer sont tout bonnement dévastateurs.. ce qu'il manque est le soutien aérien, les seules choses capables de nous arrêter sont les avions ennemis, toujours plus perfectionné. Le General Erwin Rommel est vraiment est un excellent stratège, j'admire sa façon d'utiliser les canons de 88 antiaérien, normalement, face aux chars ennemis. Dans mon char de fer, je me sens invincible malgré la chaleur. Pendant les pauses, nous n'avons qu'à mettre de la viande sur le blindage extérieur du char et elle cuit toute seule, le désert n'est pas si mal que cela finalement..

Suite à venir.